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La culture sous toutes ses formes
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16 juin 2015

Divergente (Divergent)

Divergente

De: Neil Burger

Avec: Shailene Woodley, Theo James, Kate Winslet, Zoë Kravitz, Ansel Elgort, Miles Teller, Jai Courtney, Maggie Q, Ben Lloyd-Hughes, Ray Stevenson, Ashley Judd, Tony Goldwyn, Mekhi Phifer, Christian Madsen, Casimere Jollette, Justine Wachsberger, Ben Lamb, Amy Newbold, Parker Mack,...

Pays: Etats-Unis 

Année: 2014

Synopsis

Tris vit dans un monde post-apocalyptique où la société est divisée en cinq clans (Audacieux, Érudits, Altruistes, Sincères, Fraternels). À 16 ans, elle doit choisir son appartenance pour le reste de sa vie. Cas rarissime, son test d’aptitude n’est pas concluant : elle est Divergente. Les Divergents sont des individus rares n’appartenant à aucun clan et sont traqués par le gouvernement. Dissimulant son secret, Tris intègre l’univers brutal des Audacieux dont l’entraînement est basé sur la maîtrise de nos peurs les plus intimes.

Avis

Avec Divergente, Hollywood prouve une fois encore à quel point il a du mal à inventer d'une part des histoires originales et d'autre part, quand il s'inspire de livres, à les faire sortir du lot histoire que ça ne ressemble pas de trop à ce qui s'est fait un peu plus tôt.

Entre Divergente et Hunger Games, les ressemblances sont nombreuses: une jeune adolescente comme héroïne, des factions, une lutte pour arriver au sommet de son groupe ou tout simplement pour survivre, la menace d'une guerre après une précédente qui a tout dévasté.

Comme Hunger Games, on retrouve un actrice principale qui est en train de monter petit à petit à Hollywood et qui porte l'ensemble sur ses épaules. On retrouve aussi un beau jeune homme mais assez moyen comme acteur chargé de l’entraîner dans ce cas-ci. Les deux héros vont évidemment flirter ensemble.

Comme dans Hunger Games, les événements sont surtout prétexte à vouloir mettre en avant l'idylle naissante entre les deux jeunes adolescents.

Par contre, contrairement à Hunger Games, la réalisation est un peu mieux foutue et n'est pas épileptique ou à charge d'un cameraman souffrant de la maladie de Parkinson. C'est nettement mieux filmé et un rien plus maîtrisé au niveau du rythme. En fait, même la partie d'entrainement est plutôt sympathique pour peu qu'on déconnecte quelques neurones.

Enfin, comme dans Game of Thrones, il y a un énorme mur pour protéger l'immense ville.

Note: 2/5

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